Test : complément d’enquête sur les PureGrit 4

Je voulais revenir rapidement sur le test de la Pure Grit 4 que j’avais effectué dans des conditions un peu dantesques pour confirmer ce que j’avais subodoré… Je les ai emmené sur les Transrockies en chaussures de rechange au cas où la paire principale (en test elles aussi j’y reviendrai) ne serait pas à la hauteur. Je ne vais pas vous mentir, je les ai prises parce qu’elles étaient hyper légères et qu’elles tenaient dans ma valise !

Au bout de 2 jours, les pieds abimés par la première paire (ampoule et ongles sanglants), j’ai sauté dans mes Pure Glove qui m’ont vraiment sauvé ma course. Elles se sont révélées absolument parfaites pour le type de terrain que j’avais, à savoir sec, caillouteux mais pas trop et surtout souvent plutôt roulant. Mais assez étonnamment, la partie rivière que nous avons eu à remonter (et non à traverser) s’est révélée plutôt agréable et sans danger.

L’accroche pose donc problème uniquement  sur terrain boueux mais vraiment boueux. Nous avons eu des orages la nuit, donc parfois nous avions des passages avec plus ce que j’appellerais de la terre boueuse que de la boue au sens UTMB version 2010…
Et surtout nous avions des arrivées qui se faisaient souvent en ville donc sur bitume pour rejoindre la ligne d’arrivée. Leur légèreté et leur souplesse étaient absolument parfaites pour passer d’un terrain trail à un terrain route, bref des chaussures parfaites et polyvalentes pour un Ecotrail ou une Saintelyon secs (si ça existe !) comme je le pensais. Franchement, je regrette vraiment de les avoir abîmées à ce point en Norvège sur un terrain qui ne leur convenaient pas parce que j’en aurais bien fait ma paire perso en complément de mes Kalenji !

Cécile